Sinner
Producteur
:
Jay Baumgardner
Mixé par : Jay Baumgardner
Label : Jager
Music
Sortie : Février 2002
Note : 6,5/10
Tracklist
:
01.
Sinner
02. Bodies
03. Tear Away
04. All Over Me
05. Reminded
06. Pity
07. Mute
08. I Am
09. Follow
10. Told You So
11. Sermon
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Le
15 mars 2002.
Drowning
Pool est un jeune groupe de néo-métal
originaire de Dallas (Texas) et qui commence à faire de plus
en plus parler de lui sur la scène US, mais aussi en Europe.
Après un passage en France en février dernier, on
se devait de chroniquer la première galette du combo, Sinner
(le "pécheur"), toute fraichement sortie.
Drowning Pool
évolue dans un néo-métal
on ne peut plus classique, ce qui rend Sinner
tout de suite accessible au plus grand nombre... Les 11 titres sont
donc tous plus ou moins étudiés de la même façon
: une petite intro, parfois une gueulante, un gros riff bien entraînant,
un couplet chanté et parfois hurlé, puis un refrain
bien mélodique, le tout étant bouclé en 4 minutes
au grand max. C'est classique, mais efficace.
Avec
de bons riffs et des rythmes très accrocheurs,
Sinner arrive à scotcher
l'oreille de son auditeur, et le skeud s'écoute d'une traite,
sans lassitude. Des titres se démarquent tout de même
indéniablement du lot : "Bodies",
le premier single extrait de la galette avec son "one...two...three...four"
récurrent (ça marche à tout les coups), "All
Over Me" avec ses geulantes à la SpineShank,
"Reminded" pour son pur riff d'intro et son joli refrain,
et surtout "Sermon"
dotée d'un rythme crescendo, en fera bouger plus d'un, d'un
refrain qui vous trotera longtemps dans les neurones, et qui s'achève
par 4 mots en reubeu qui feront sourire.
Sinner
n'a malheureusement pas ce truc en plus qui démarque les
excellents cds du reste, et qu'on appelle le charme. En effet, on
écoutera cette galette facilement mais il sera très
dur de rentrer dedans et de ressentir l'atmosphère dégagée
par Drowning Pool. Une musique
simple qu'on aura vite oubliée mais qui pourrait s'avérer
bien sympathique en live. En parlant de live, DP
sera à l'affiche de l'Ozzfest 2002, cet été
aux States.
par Tom.
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